A la suite de l’incendie du bâtiment dans lequel était entreposé bon nombre de ses œuvres, sa peinture s’éloigne radicalement de la forme figurative. Les couleurs achèvent de perturber les réseaux complexes de lignes qui sous-tendent la lisibilité des titres : portrait, nu, nature morte, bouquet. La couleur bleue donne encore l’indication formelle. Les autres teintes (rouge, vert, violet, orange principalement) s’associent dans les surfaces quadrillées déformées.
Jean BENARDJean Bénard trouve une raison positive de vivre dans la peinture. Celle-ci exorcise ses angoisses traumatiques permanentes, lui permet de combler la solitude physique et sociale dans laquelle cet artiste du silence est “enfermé” depuis de nombreuses années.Vendredi 20 Août 2010
. OF
Ajouter un commentaire
Dans la même rubrique :
|
|||